Publiée le par Cynthia CAVALLI
Devenu un incontournable de notre époque, la vidéo est partout : dans notre quotidien, dans le domaine professionnel, dans les loisirs et plus encore, dans le sport pour illustrer nos performances à montrer à notre entourage.
Dans le parachutisme, la vidéo est présente depuis de très nombreuses années.
Dans les ouvrages « Skies Call » d’Andy Keech datant des années 70, on nous montre des « photographes » avec plus de 10 kgs de matériel sur la tête. Si, si !!! (ci-dessous, le matériel du caméraman-parachutiste américain Michaël Mc Gowan). De quoi bien se fragiliser les cervicales !

De nos jours, une simple petite caméra de 150 gr suffit à produire les mêmes effets.
Dorénavant, dès le début de la progression, l’oeil du moniteur est accompagné par cette petite caméra « qui ne ment pas » et permet de décortiquer chaque saut (la sortie, la position, les déplacements, l’aisance en l’air…).
Toutes les disciplines du parachutisme utilise ce moyen technologique des temps modernes : en Précision d’Atterrissage, la caméra peut être accrochée sur l’élévateur de l’utilisateur (pour une vision interne de la situation). Les autres disciplines font appel à un videoman extérieur.
Son rôle est prépondérant. Dans les sauts de tandem, il doit être au bon endroit pour capter l’émotion du passager ! Dans les équipes de compétition, il fait entièrement partie de l’équipe et une erreur de sa part (somme toute assez rare) peut mettre à mal de bons résultats et une place sur un podium.


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